La note s'adresse aux copropriétaires de la résidence, avec un ton résolument critique envers le conseil syndical, le syndic, et la gestion de la copropriété en général. L'auteur commence par une remarque ironique sur la tradition de communication fermée et rétrograde du conseil syndical, en déplorant l'absence d'une véritable transparence et d'une communication moderne. Il critique le conseil du 09 décembre 2024, qu'il considère comme servile envers le syndic et dévoué à sa défense, malgré les divergences apparentes dans les rapports d'activités du syndic et du conseil syndical lors de l'assemblée de 2023. Ce conseil, selon l'auteur, défend avant tout ses propres intérêts et ceux du syndic, sans tenir compte des préoccupations des copropriétaires.
L'auteur s'oppose aussi à l'idée que le conseil syndical aurait pour rôle de maintenir une ambiance agréable, au lieu de défendre véritablement les intérêts des copropriétaires. Il dénonce une attitude de "caste de bien-pensants", qui ne cherche qu'à faire taire les voix dissidentes, comme la sienne. L'auteur évoque des propos et comportements déplacés de certains membres du conseil, dont des insultes et des tentatives de discréditer ceux qui s'opposent à eux. Il rappelle les incidents passés, notamment des violences verbales à l'encontre de certaines personnes au sein de la copropriété, ainsi que des pratiques de gestion défaillantes.
Il soulève également la question des impayés de charges, qui restent un problème historique de la copropriété, sans qu'aucune action ne semble être prise pour résoudre ce dossier. De plus, l'auteur critique l'attitude du syndic, qui, selon lui, est plus préoccupé par les problèmes internes de ses fournisseurs que par les intérêts des copropriétaires. L'auteur dénonce la mauvaise gestion des finances et le manque de résultats tangibles, malgré les grandes promesses faites par le conseil.
Il y a aussi des critiques sur le fait que les décisions sont prises sans consulter les copropriétaires, ce qui renforce le sentiment de mépris à l'égard de ceux-ci. L'auteur fait une comparaison entre la situation actuelle et l'idée absurde de voir des grands patrons diriger des syndicats de travailleurs, ce qui soulignerait l'incohérence de la situation.
Enfin, l'auteur annonce la publication prochaine de documents qui exposeront davantage les problèmes de gestion de la copropriété, dont les 25 années passées dans cette résidence, et qu'il qualifie d'une situation de harcèlement ou de persécution. Il se décrit comme le seul membre du conseil syndical opposé à la mauvaise gestion, et met en lumière le passif lourd qui découle de cette gestion défaillante.
En somme, le texte est une dénonciation virulente du système en place, avec l'argument que celui-ci ne défend pas les intérêts des copropriétaires, mais ceux du syndic et d'un petit groupe de personnes au sein du conseil syndical. L'auteur met en avant son engagement à contester cette situation et à dénoncer ce qu'il considère comme des dérives.